mercredi 12 novembre 2008

et reprendre son envol

douce solitude. un flocon fondant sur la langue, la brise matinale parcourant nos visages, un chemin de bitume vers des ailes de fer et se plonger dans de nouveaux nuages. je renoue avec la mélancolie qui m'avait enveloppé il y a quelques années déjà, en revenant de berlin.
aujourd'hui : une hâte, une seule, celle du prochain voyage...